Le but de l’investissement Girardin industriel est de relancer et dynamiser l’activité économique dans les DROM COM, les départements, régions et collectivités d’outremer. Tout contribuable fortement imposé à l’impôt sur le revenu peut alors y souscrire en achetant des parts de sociétés en nom collectif (SNC). En contrepartie, il gagne une importante réduction d’impôt.
Les missions de la SNC
C’est cette SNC qui se charge de collecter les fonds dans le but d’acquérir un matériel industriel qui sera mis en location auprès d’une entreprise, généralement une PME locale, c’est-à-dire elle aussi basée en outremer requérant un coup de pouce pour son développement. L’investisseur qui est un contribuable en France métropolitaine acquiert le statut d’associé de la SNC puisqu’il y injecte son apport personnel, sur la base duquel la réduction de ses impôts sera calculée.
Les autres missions de la SNC consistent à collecter les loyers émanant de l’entreprise locale, afin de rembourser le prêt réalisé en addition à l’apport de l’investisseur pour le financement du matériel industriel.
Quels sont les risques qui en découlent ?
Parmi les risques majeurs à la souscription de parts de SNC : la responsabilité des associés. Ceux-ci répondent des dettes de cette dernière, de manière solidaire et indéfiniment, c’est-à-dire que les risques sont « illimités ». Même si l’un d’eux quitte la SNC, sa sortie est toujours soumise à un vote à l’unanimité des autres associés, et sa responsabilité continue à être engagée.
Quoi qu’il en soit, en se tournant vers un spécialiste expérimenté en montage de dossier, les risques afférents à une défaillance de montage sont amoindris. La gestion de SNC est d’ailleurs prise en main par une filiale spécialisée, pour le cas du Groupe Profina (https://www.groupe-profina.com/espace-outre-mer/presentation/loi-girardin/) et les risques sont répartis en raison du montage de plusieurs SNC sur plusieurs investissements réalisés.